Each chapter is a stand alone testimony illustrating different aspects of the faith and how God moved in the lives of the individuals to bring about His purposes, whether it be physical healing, material needs, forgiveness, emotional healing, bringing His peace into relationships, and sometimes deliverance from evil spirits. The author’s own spiritual journey unfolds through each testimony as the Lord teaches her new things, often through incidents within her own family, to which many of the testimonies relate.
Prologue
He thought it was a dream
My Father told me,
“Do what you are supposed to do.”
During my first communion with the Spirit, I burst into tears, because I felt that I would not be capable of committing to obey Him. I cried on the shoulder of my father and told him how I could feel the presence of the Spirit. He comforted me and told me his own encounter.
He said, it happened when we, his children were still in college. One Sunday afternoon, while taking a nap, he heard a sweet gentle voice calling his name. When he opened his eyes, he saw a very beautiful lady wearing an immaculate white gown, smiling at him. He was astounded and felt so unworthy to face her, so he knelt on the floor, telling the Lady to forgive him. He closed his eyes, cried and mulled it over. He was thinking, maybe it was just a dream. He looked up again, still the Lady was standing in front of him. With a sweet, gentle voice, she said, “My son, one of your children is going to be commissioned by the Lord to serve.” In a very soft voice, close to a murmur, he accepted and said yes.
He did not relate this “vision” to anyone in his family but kept it in his heart. When I told him about my experience, he then learned I was the one and told me of his “vision”. He said to me, “I waited for this. Baby, fulfill what is asked of you.”
10 comments:
Pour les francophones, l'introduction du livre I
Bonne lecture!
Introduction
Dans les pas de Jésus on vit des milliers de témoignages, comme il est écrit dans l’Évangile de Jean 21:25 (Bible de Jérusalem) “ Il y a encore bien d'autres choses faites par Jésus. Si on les mettait par écrit une à une, je pense que le monde lui-même ne suffirait pas à contenir les livres qu'on en écrirait.”
Tous ceux qui marchent au côté de Jésus auront des milliers d’histoires à raconter concernant les extraordinaires guérisons qu’ils ont reçues de Dieu ou dont ils ont été les agents. En ce qui me concerne, Dieu m’a seulement rappelée celles écrites ici. Il a promis que ceux qui liraient ce livre trouveront leur propre histoire et recevront guérison et victoire, alors qu’ils vivront les situations similaires aux personnes mentionnées.
Je dédie donc ce livre à ceux qui marchent sur le Sentier de Gloire et à ceux qui y marcheront. Je le dédie plus spécialement à mon très cher ami d’Angleterre, Steve Clark, inspiré par Dieu à me convaincre d’écrire ce livre et qui l’a édité.
Je remercie Dieu de m’avoir donné cette belle opportunité de Le servir : Jésus notre Sauveur ; Dieu le Père, mon Dieu, mon Père, mon Créateur ; le Saint-Esprit, mon professeur, mon conseiller et mon guide.
Du fond de mon cœur je prie Dieu qu’Il bénisse continuellement Son peuple pour qu’il témoigne de la vérité et que ceux en instance de guérison et ceux qui ne l’ont pas encore reçue deviennent la preuve vivante de la Gloire de Dieu, Amen.
D.L. Dirige
Francophones, voilà l'avant-propos
Bonne lecture!
Avant-propos
Partager peut être plaisant. Il n’y a rien de plus enrichissant que de partager nos talents et pensées avec d’autres, ou de plus relaxant que lorsqu’on plaisante ou boit un verre avec un parent ou un ami. Nous aussi, pourrions facilement élever nos voix pour chanter des louanges à Dieu et partager avec tous les Chrétiens les miracles de Son Amour au quotidien. Beaucoup d’entre nous partagent leur temps et leur vie avec d’autres. Beaucoup plus sont capables et osent partager leurs talents et trésors, mais peu de nous ont l’aptitude, l’humilité, et la simplicité de partager la crainte que l’on ressent quand Dieu agit non seulement en nous, mais par nous.
Pour être en mesure de le faire, on ne doit pas être intelligent ou doué, nous devons simplement être ouvert à l’Esprit de Dieu et être imprégné de la joie d’accompagner les autres alors qu’ils s'appuient sur les pierres d'achoppement lors de leur cheminement sur le Sentier de Gloire.
En écrivant “Le Sentier de Gloire” Ate Baby a réussi à faire cela.
Quand Ate Baby m'a donné le brouillon de ce livre j’étais sûre que j’étais suffisamment privilégiée de rencontrer un de ces rares témoins du splendide travail de Dieu. Je dois admettre que j’ai lu avec attention toutes les pages, je me suis trouvée comme envoutée par le piquant de chaque histoire. Ate Baby dans son style candide a pu me faire marcher avec elle et ses amis, et vivre la présence de Dieu dans la guérison et le pardon qui résulte de ses prières.
Alors que je lisais un chapitre après l'autre j'ai été stupéfaite de la façon dont Dieu avait préparé Ate Baby pour sa nouvelle mission. Je pouvais ressentir la lutte qui avait lieu non seulement en chaque personne du livre, mais, par-dessus tout, en Ate Baby elle-même. Elle, comme Abraham, luttait contre une force plus forte qu’elle, et au cours de cette lutte elle sentait que ce qu’elle disait aux autres sonnait déraisonnable. C’est seulement quand elle s’est abandonnée et a admis sa défaite - spécialement lorsqu’elle a été capable de pardonner à ceux avec qui elle avait des relations cassées (parents et voisins) - que les choses se sont mises à avoir un sens pour elle. Elle se rendait peu compte que sa défaite devenait victoire alors que Jésus usait ses mains ointes pour en guérir beaucoup. Il l’utilisa pour prophétiser à ceux qui avaient besoin de son réconfort.
Par ce livre, Ate Baby présente à tous, sans aucune distinction, ses pensées les plus profondes, continuant son chemin sur le Sentier de Gloire. Le sien, comme le nôtre, n’est pas un voyage non-accompagné ; cela ne pourrait jamais l’être. On ne peut cheminer sur le Sentier seul. Alors qu’Ate Baby partage son expérience, elle nous fait savoir que nous devons prêcher à d’autres et se laisser prêcher par d’autres afin de participer au banquet que le Seigneur nous prépare au bout du voyage.
Laissez-moi vous suggérer que pendant la lecture de ce livre, vous essayiez de prendre des notes sur la façon dont le Seigneur vous utilise aujourd’hui pour amener Son Amour, Sa joie et Son attention aux autres. Vous pourriez finir par louer Dieu et dire avec Saint François d’Assise, “C’est en donnant que l’on reçoit.”
Vraiment le Seigneur est grand en tout ce qu’Il fait.
Sr Celina Cini, FCJ
Mère supérieure
Sœurs Franciscaines du Cœur de Jésus
Philippines
Préface en français des livres I et II
Bonne lecture!
Préface
Il avait cru que c’était un rêve
Mon père m’a dit : « Fais ce que tu es supposée faire. »
Lors de ma première communion avec l’Esprit, j’ai éclaté en sanglots car je sentais que je ne serai pas capable de m’engager à lui obéir. J’ai pleuré sur l’épaule de mon père et je lui ai demandé comment je pouvais ressentir la présence de l’Esprit. Il m’a réconforté et m’a raconté sa propre histoire.
Il m’a dit que ça s’était passé quand nous, ses enfants, étions à l’université. Un dimanche après-midi, pendant une sieste, il a entendu une voix douce l’appeler. Quand il a ouvert les yeux il a vu une très belle femme vêtue d’une robe d’un blanc immaculé lui sourire. Il était sous le choc et se sentait indigne de lui faire face et il s’est donc mis à genoux sur le plancher, demandant à Notre Dame de lui pardonner. Il a fermé les yeux, a pleuré et a réfléchi. Il se disait que ce n’était peut-être qu’un rêve. Il a jeté un œil de nouveau et la Vierge Marie était toujours là, en face de lui. Avec une voix douce, gentille, elle lui a dit : « Mon fils, un de tes enfants sera choisi par le Seigneur pour le servir. » D’une voix très basse, proche du murmure, il a accepté, il a dit oui.
Il n’a révélé cette « vision » à aucun membre de sa famille ; il l’a gardé au plus profond de son cœur. Mais, lorsque je lui ai parlé de ce qui m’arrivait, il a su que j’étais cet enfant et il m’a raconté sa « vision ». Il m’a dit : « J’attendais ce moment. Baby, réalise ce qui t’es demandé. »
Début du premier voyage avec Ate Baby. J'ai discuté avec notre amie et notre soeur à tous et nous avons décidé de mettre en ligne sur le blog la traduction en français (que j'ai faite) du premier livre. Mes précédents commentaires sont les intro, avant-propos, et la préface, je ne mets pas le synopsis sinon le plaisir de lire chaque semaine un nouveau chapitre sera moins grand.
Aujourd'hui, chapitre 1
Chapitre 1 sera pour vendredi 23 juin, limite d'utilisation des commentaires
Chapitre 1
RECONCILIATION
La guérison de mon frère
J’étais chez moi, faisant un peu de ménage quand j’ai reçu un coup de téléphone de ma belle-sœur m’informant que mon frère venait d’avoir un accident de moto.
Il semblerait qu’il roulait plutôt vite quand deux enfants ont traversé la rue devant lui ; braquant pour les éviter il a heurté une large pierre et a été catapulté, suivi de la moto qui lui est retombée dessus. L’accident lui a causé des fractures aux clavicules, côtes, pieds et jambes. On l’a emmené immédiatement au Makati Medical Center où il a été reçu avec un traitement de faveur car il était employé d’une grande entreprise, et aussi car le docteur de garde était son oncle.
Apprenant la nouvelle, ma grande sœur et moi, nous nous sommes empressées d’aller à l’hôpital. Ma belle-sœur y était déjà et nous a informées que les médecins avaient peur que des éclats de côtes ne perforent ses poumons et que si un sifflement venait des poumons, une opération immédiate serait requise. C’est précisément ce qui s’est passé et le son fort venant de ses poumons a rempli nos cœurs d’effroi. A ce moment ma belle-sœur a paniqué et a couru appeler le docteur. J’essayais de la calmer et lui disait d’avoir la foi. J’ai demandé à tous ceux qui étaient présents de toucher mon frère pendant que je conduirais une prière de guérison.
Je priais en tremblant. Mes mots étaient difficilement compréhensibles, mais toutes les personnes présentes dans la chambre savaient qu’à ce moment-là nous devions être unis dans la prière, et demander à Dieu de guérir mon frère. J’avais l’habitude d’imposer les mains sur les malades et j’étais toujours calme, mais ce jour-là, les larmes aux yeux, je suppliais Dieu de guérir mon frère, non seulement parce que je l’aimais et faisais attention à lui, mais aussi, car il avait 4 enfants en école primaire et au lycée. Il y avait encore tant de choses à faire pour lui en tant que père, mari, frère et ami.
C’est une personne très compatissante, particulièrement pour les plus démunis. Je l’ai souvent vu donner ce qu’il avait dans sa poche aux nécessiteux et toujours aider ceux ayant besoin d’un travail – il était leur champion. Dans sa compagnie il avait le rôle de médiateur entre les employés et la direction, même s’il appartenait à la direction. J’étais toujours surprise des résultats de ses négociations. Il était apprécié où qu’il aille mais était toujours strict avec nous, sa famille, surtout moi, car j’étais la plus têtue et c’était dans ma nature de répondre même si je savais que j’avais tort. Il aimait et respectait tellement nos parents, surtout ma mère. Je ne l’ai jamais entendu se disputer avec elle ou lui répondre. Je n’ai pas donné beaucoup d’importance à toutes ces qualités ; je le regardais plutôt comme une personne ordinaire, une que j’avais détestée pendant notre jeunesse.
Quand il était étudiant à la fac, j’avais du arrêter mes études pour me mettre à son service et celui de ma grande sœur car ils finissaient leurs études d’ingénieur cette année là. Un après-midi, alors que je préparais le dîner, mon frère s’est approché de moi, m'a pris dans ses bras et m'a chuchoté des mots qui m'ont donné envie de le servir encore plus. Il m’a dit, « Baby, merci beaucoup. Ne t’inquiète pas ma petite sœur, je m’occuperai de toi dès que j’aurais fini mes études ». J’étais adolescente (17ans) et c’était si bon d’entendre ces mots. Dans ma tête je rêvais de superbes vêtements et de ce que j’allais avoir. Puis, lui et ma sœur ont eu leurs diplômes. Je pense que j’étais plus heureuse que mes parents ne l’étaient, sachant qu’il allait être là pour moi maintenant. Puis il a passé l’examen de licence ; j’ai beaucoup prié pour qu’il réussisse, même si je savais du fond du cœur qu’il l’aurait, étant depuis toujours un premier de la classe. Il a ensuite postulé dans l’une des plus grosses entreprises du pays et il a été accepté. Maintenant venait le temps de récolter ce que je croyais avoir semé.
La plus grosse déception de ma vie a suivi ; mon frère s’est marié ; je savais que cela serait la fin de sa promesse. J’ai beaucoup pleuré en secret et de temps à autres je ne voulais même plus le voir ou l’entendre. Pour tous les autres il était la même personne, toujours le champion.
A partir de là, j’ai commencé à travailler seule. Dans ma troisième année de fac j’ai décidé de travailler la journée et étudier le soir pour répondre à mes besoins, puisqu’il avait manqué à sa promesse. Je suis devenue sa compétitrice silencieuse et je jurerai d’avoir plus de succès et de réussite que lui, sans son aide. Je travaillais très dur, et j’ai créé une compagnie lucrative. Au milieu de tout cela, le Seigneur est entré dans ma vie et m’a donné une mission. L’appel avait été si fort que je ne pouvais pas dire non à Dieu.
J’ai commencé à prier ; le chapelet au début. Je ne savais pas vraiment comment prier à cette époque. Alors que je devenais plus captivée par le service au Seigneur j’allais de l’avant, visitant des malades et priant pour guérir. J’ai mis la main sur la Bible et je l’ai lue et relue ; quand il y avait des choses que je ne comprenais pas j’allais voir mon prêtre confesseur pour des explications. Je me suis mise à mieux connaître la Parole de Dieu et je pouvais parler et expliquer les enseignements par mes propres expériences. Un jour un prêtre m’a dit de ne pas avoir peur de partager la Parole par le vécu car nous avons un Dieu dont on fait l’expérience. Ceci m’a donné du courage pour aller vers les nécessiteux avec mes expériences, petites ou grandes, bonnes ou mauvaises, et les gens se trouvaient guéris et réconciliés avec Dieu et les autres. Dieu m’a donné la chance de toucher ma famille et dans ce cas, mon frère.
A l’hôpital après avoir prié pour mon frère, il y a eu un silence complet, personne ne bougeait et nous le regardions, allongé et endolori. Il a fermé ses yeux et après un moment le son fort venant de sa poitrine s’est arrêté. Il s’est réveillé et a dit qu’il se sentait bien.
Un médecin est entré pour nous dire que la salle d’opération était prête pour commencer la reconstruction des os cassés. J’ai demandé à ma belle-sœur de d’abord demander une autre radio et un autre examen. Les médecins les faisant, ils ont découvert que les os s’étaient ressoudés comme si rien ne lui était arrivé. Il était complètement guéri.
Nous sommes rentrés à la maison la joie au cœur, glorifiant et rendant grâce à Dieu pour ce superbe miracle, malgré l’insistance des docteurs de le garder quelques jours à l’hôpital – ils étaient aussi émerveillés.
Trois jours plus tard j’ai reçu un autre appel de ma belle-sœur. Sa voix tremblait et était pleine de peur quand elle m’a dit que mon frère avait besoin d’une opération au cerveau, car il y avait une hémorragie. J’ai réuni ma petite sœur et mes enfants, leur demandant de prier pour lui, alors que ma grande sœur et moi nous nous précipitions à l’hôpital. Quand nous sommes arrivées, nos parents étaient déjà là-bas ; je pouvais voir l’angoisse sur leurs visages. M’approchant de mon frère, je pouvais voir qu’il était très malade. Il pouvait difficilement nous regarder et ne pouvait plus parler pour me souhaiter la bienvenue – l’hémorragie cérébrale avait affecté la vue et la parole. Je ne pouvais pas croire ce qui se passait ; trois jours plus tôt il avait été complètement guéri, et à présent il était dans un état encore plus critique qu’avant. Je me sentais mal, comme si j’avais trahi ma famille en les assurant de la guérison de mon frère, quand là, il semblait peu probable qu’il survive à l’opération puisqu’il y avait des caillots de sang dans la partie gauche du cerveau. Le médecin est de nouveau entré pendant que la salle d’opération était préparée pour l’intervention d’urgence. Je ne savais pas quoi faire. Je n’arrivais plus à penser. Je ne comprenais pas. Je commençais à questionner Dieu. Dans ma tête je sentais qu’Il m’avait abandonnée – nous avions prié trois jours plus tôt, le Seigneur l’avait guéri, les radios l’avaient confirmé, pourquoi alors, après un si beau miracle sa condition est plus sérieuse maintenant ? Les questions me perçaient le cœur et l’âme pendant que je demandais encore une fois à la famille de se joindre dans la prière. J’ai posé ma main sur son front, fermé mes yeux, mais aucune parole ne pouvais sortir de ma bouche. En silence, je demandai à Dieu de m’aider à prier. J’essayais de me rappeler nos jours heureux ensemble quand nous étions enfants, mais à ma surprise ce qui me revenait en tête était les douleurs et les temps de peine, les promesses brisées, le dur travail en même temps que les études, et pour toutes ces difficultés je l’accusais. Réalisant que cela pouvait être notre dernier moment ensemble et la dernière chance de me réconcilier avec lui, j’ai essayé de lui dire que j’étais désolée, mais aucun mot ne sortait. J’ai encore prié que Dieu m’aide et ensuite en présence de mes parents et de ma famille j’ai reconnu et accepté mes fautes et défauts et j’ai demandé pardon.
J’ai ressenti une force intérieure me donner le courage d’accepter mes erreurs et demander pardon plutôt que de compter ce qu’on m’avait fait. Après avoir fait ça je me suis sentie libérée de ses sentiments négatifs que je portais dans mon cœur depuis si longtemps. Quand j’ai ouvert mes yeux j’étais émerveillée de voir des larmes couler des yeux de mon frère, je savais que nous étions réconciliés. Quelques temps après, il m’a regardé et m’a dit « Baby, Dieu est avec toi ». Je lui ai demandé comment il savait et il a répondu « Parce que tu peux parler anglais maintenant ».
Ce n’était pas sa blague qui nous rendait heureux, mais le fait que peu de temps avant, il ne pouvait pas dire un mot. Il s’est levé de lui-même au moment où les médecins arrivaient pour le mener en salle d’opération. Avant de partir il a demandé aux médecins de d’abord l’examiner. Les médecins ont été ébahis qu’il puisse parler avec eux et lui ont demandé ce qui s’était passé, ce à quoi il a répondu en disant « Dieu m’a rendu visite ». A leur surprise, après l’avoir examiné, ils ont vu qu’il était (encore) complètement guéri et après quelques jours en observation à l’hôpital, il est sorti.
Characters limitation don't allow me to put the whole chapter 1 The last 3 paragraphs will be posted tomorrow.
Promised!
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